20 DÉCEMBRE 2013
Le site Cumuleo.be, spécialisé dans le recueil des mandats des politiques, annonce par communiqué avoir fait la somme des mandats « oubliés » de plusieurs politiciens comme par exemple la vice-Présidence de l’Internationale socialiste concernant Elio Di Rupo.
Elio Di Rupo (PS): Pendant 8 ans il n’a pas déclaré son mandat de gérant de Patrimons sprl (société qu’il détenait à 97%). « De plus il omet chaque année de déclarer son mandat de vice-président de l’Internationale Socialiste. Il n’a pas non plus jugé nécessaire de déclarer son mandat de membre de plein droit de la présidence du PSE (Parti Socialiste Européen), mandat qu’il a exercé jusqu’en septembre 2012. Au sein de l’Internationale Socialiste, il a également exercé un mandat de membre de l’exécutif à savoir celui de Président du Comité des Autorités Locales, mandat qui brille aussi par son absence dans ses différentes déclarations. »
vendredi 20 décembre 2013
vendredi 23 août 2013
La com ultrapositive de Di Rupo.
ANTOINE CLEVERS Publié le vendredi 23 août 2013
"Le moins que l’on puisse dire, c’est que la com d’Elio Di Rupo n’est pas en vacances !"
Constat implacable que celui posé par Nicolas Baygert, expert en communication politique à l’UCL, face aux messages dont le Premier ministre PS abreuve les réseaux sociaux, Twitter et Facebook en particulier. Une communication ultrapositive qui a commencé le jeudi 29 juillet avec un premier message posté.
"Bonnes vacances à tous ! Depuis fin 2011, le gouvernement travaille d’arrache-pied, avec des résultats", écrivait-il (en fait, son équipe de com) sur Twitter.
Une photo y était jointe où l’on lisait quelques mesures adoptées par le gouvernement : "augmentation des salaires les plus bas; augmentation des pensions les plus basses et des allocations sociales; diminution des prix de l’énergie, des télécoms et des médicaments"; etc.
Depuis, il livre des messages similaires pratiquement tous les jours. Il se borne à rappeler les décisions populaires de son équipe et oublie savamment les plus douloureuses (hausse du précompte, diminution de la prime de rentrée, suppression des déductions vertes, etc.).
"C’est une com résolument positive, proche du storytelling gouvernemental", dit M. Nicolas Baygert. "Il met en avant les success stories. Il crée une atmosphère positive autour de lui, sans hésiter à réécrire l’histoire puisqu’il ne cite pas les moments les plus durs."
"Il pratique la méthode Coué en répétant que tout va bien", abonde Michel Hermans, politologue à Hec (ULg) et spécialiste des nouveaux médias.
En utilisant les réseaux sociaux, ajoute le professeur, Elio Di Rupo s’adresse directement à la population et évite le filtre des journalistes. "Grâce à Twitter, où l’on ne poste que des textes très courts, il a la possibilité de faire ressortir la substantifique moelle de son message."
Le spécialiste de l’UCL parle toutefois de "simulacre de proximité" puisque l’interaction est très limitée et qu’une équipe de com se cache derrière.
"L’ombre de la N-VA pèse sur lui", reprend son homologue de l’ULg. "L’objectif est d’éviter que ce parti ne soit encore davantage mis en avant. Louer comme il le fait des décisions collectives permet de dire : Serrons-nous les coudes et retrouvons-nous ensemble après les élections de 2014" pour former un gouvernement Di Rupo II. Sans la N-VA…
Réponse du berger à la bergère. Le député nationaliste Siegfried Bracke entamera le 2 septembre une tournée à travers la Flandre pour démonter l’action de l’exécutif…
Enfin, l’autre facette de la communication du Premier ministre est individuelle. Cela fait aussi quatre semaines qu’il bombarde les réseaux sociaux de ses "photos préférées 2013". Il apparaît sur les clichés aux côtés de citoyens lambda dans une posture souriante ou empathique, donc avantageuse. "Il entretient une image attrayante de lui-même", analyse M. Hermans.
Finalement, tout cela est-il efficace ? Sur le fond du message, on peut en douter. Mais le but n’est pas là…
Selon Nicolas Baygert, "il utilise une communication de marque", comme le font Adidas ou Coca-Cola par exemple. "L’idée est d’assurer une présence globale sur les réseaux, même pendant les vacances. À tout instant, le consommateur est en lien avec sa marque. C’est le même phénomène chez Elio Di Rupo."
"Il rappelle ainsi que le Premier ministre, c’est lui, et que le leader du Parti socialiste, c’est lui", termine Michel Hermans. "Il veut que le citoyen se souvienne de lui quoi qu’il arrive."
Source: http://www.dhnet.be/actu/belgique/la-com-ultrapositive-de-di-rupo-5216d96635706c46e236291b
"Le moins que l’on puisse dire, c’est que la com d’Elio Di Rupo n’est pas en vacances !"
Constat implacable que celui posé par Nicolas Baygert, expert en communication politique à l’UCL, face aux messages dont le Premier ministre PS abreuve les réseaux sociaux, Twitter et Facebook en particulier. Une communication ultrapositive qui a commencé le jeudi 29 juillet avec un premier message posté.
"Bonnes vacances à tous ! Depuis fin 2011, le gouvernement travaille d’arrache-pied, avec des résultats", écrivait-il (en fait, son équipe de com) sur Twitter.
Une photo y était jointe où l’on lisait quelques mesures adoptées par le gouvernement : "augmentation des salaires les plus bas; augmentation des pensions les plus basses et des allocations sociales; diminution des prix de l’énergie, des télécoms et des médicaments"; etc.
Depuis, il livre des messages similaires pratiquement tous les jours. Il se borne à rappeler les décisions populaires de son équipe et oublie savamment les plus douloureuses (hausse du précompte, diminution de la prime de rentrée, suppression des déductions vertes, etc.).
"C’est une com résolument positive, proche du storytelling gouvernemental", dit M. Nicolas Baygert. "Il met en avant les success stories. Il crée une atmosphère positive autour de lui, sans hésiter à réécrire l’histoire puisqu’il ne cite pas les moments les plus durs."
"Il pratique la méthode Coué en répétant que tout va bien", abonde Michel Hermans, politologue à Hec (ULg) et spécialiste des nouveaux médias.
En utilisant les réseaux sociaux, ajoute le professeur, Elio Di Rupo s’adresse directement à la population et évite le filtre des journalistes. "Grâce à Twitter, où l’on ne poste que des textes très courts, il a la possibilité de faire ressortir la substantifique moelle de son message."
Le spécialiste de l’UCL parle toutefois de "simulacre de proximité" puisque l’interaction est très limitée et qu’une équipe de com se cache derrière.
"L’ombre de la N-VA pèse sur lui", reprend son homologue de l’ULg. "L’objectif est d’éviter que ce parti ne soit encore davantage mis en avant. Louer comme il le fait des décisions collectives permet de dire : Serrons-nous les coudes et retrouvons-nous ensemble après les élections de 2014" pour former un gouvernement Di Rupo II. Sans la N-VA…
Réponse du berger à la bergère. Le député nationaliste Siegfried Bracke entamera le 2 septembre une tournée à travers la Flandre pour démonter l’action de l’exécutif…
Enfin, l’autre facette de la communication du Premier ministre est individuelle. Cela fait aussi quatre semaines qu’il bombarde les réseaux sociaux de ses "photos préférées 2013". Il apparaît sur les clichés aux côtés de citoyens lambda dans une posture souriante ou empathique, donc avantageuse. "Il entretient une image attrayante de lui-même", analyse M. Hermans.
Finalement, tout cela est-il efficace ? Sur le fond du message, on peut en douter. Mais le but n’est pas là…
Selon Nicolas Baygert, "il utilise une communication de marque", comme le font Adidas ou Coca-Cola par exemple. "L’idée est d’assurer une présence globale sur les réseaux, même pendant les vacances. À tout instant, le consommateur est en lien avec sa marque. C’est le même phénomène chez Elio Di Rupo."
"Il rappelle ainsi que le Premier ministre, c’est lui, et que le leader du Parti socialiste, c’est lui", termine Michel Hermans. "Il veut que le citoyen se souvienne de lui quoi qu’il arrive."
Source: http://www.dhnet.be/actu/belgique/la-com-ultrapositive-de-di-rupo-5216d96635706c46e236291b
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Belgique
jeudi 27 juin 2013
L'ancien ministre Elio Di Pédo.
Il y a aussi tous ces témoignages (au moins une dizaine) à propose de l'ancien ministre Jean-Pierre G., ami de Di Rupo, et de ses sorties dans les boites de Liège, Mons ou Bruxelles, si possible homos. Un témoin explique qu'il visait les jeunes (une quinzaine d'années) qu'il voulait avec un point rouge lumineux, et qu'on les lui amenait.
Un autre explique que le ministre "possédait un album photo avec toutes les personnes avec lesquelles il a eu des relations sexuelles". Un troisième parle d’une affaire de pédophilie concernant G. a été étouffée et qu’un jeune s’est suicidé "suite à cette affaire". Elle peut retrouver le nom du jeune. un autre encore évoque ses "protections", ce qui n'a pas empêché G. de devoir démissionner en 1996 suite à des accusations de pédophilie.
Un autre témoin explique que l'un de ses amis a eu à faire il y a quelques années avec G. quand il avait 15 ans et fuguait régulièrement. Au cours de ces fugues il faisait des conneries, et pour les faire oublier « il lui suffisait de passer deux nuits avec Mr G. et il n'était plus inquiété ».
Un autre témoin qui a appelé la ligne ouverte par le juge en charge de l'enquête au début (et qui a été viré parce qu'il risquait de faire son travail) a déclaré que G. l'a saoulé dans plusieurs bistrots de Liège et l'aurait ensuite violé. G. se serait aussi rendu à plusieurs reprises au home Vert Bois pour aller y chercher des jeunes.
Autre témoignage: une femme qui faisait partie du monde politique et était alors pensionnée. Elle disait avoir appris de source sûre que dans le centre de placement la "MOHINETTE" à Dolembreux, on venait chercher des enfants le soir et on les ramenait le lendemain matin dans la voiture de G. La dame a dit cela à la gendarmerie, qui n'a rien fait.
Plusieurs témoins parlent de ses liens avec Nihoul, mais pensez-vous que les flics l'ont interrogé? Bien-sûr que non.
G. a même été blanchi de toutes les accusations de pédophilie, qui, certes, faisaient tâche tant elles étaient persistantes et concordantes. Pour cela, on s'est concentré sur deux témoignages qui dont leurs auteurs ont été décrédibilisés, une bonne vieille technique. Et finalement, on a dit que tout cela n'était qu'une "effrayante machination" contre les deux ministres, dont l'un est aujourd'hui le premier ministre belge.
Di Rupo avait aussi été mis en cause à l'époque, ainsi que nous l'explique en 1996 le quotidien Libération: "La demande de mise en accusation par la justice belge du vice-Premier ministre fédéral, Elio Di Rupo, et du ministre de l'Enseignement de la communauté francophone, Jean-Pierre Grafé, pour faits de pédophilie éveille désormais, dans une Belgique déjà déstabilisée par les scandales, le fantôme d'une crise de régime".
Lire l'article entier sur "Affaire Dutroux: il y avait d'autres caches"
Source : http://dondevamos.canalblog.com/archives/2013/06/24/27503065.html
Un autre explique que le ministre "possédait un album photo avec toutes les personnes avec lesquelles il a eu des relations sexuelles". Un troisième parle d’une affaire de pédophilie concernant G. a été étouffée et qu’un jeune s’est suicidé "suite à cette affaire". Elle peut retrouver le nom du jeune. un autre encore évoque ses "protections", ce qui n'a pas empêché G. de devoir démissionner en 1996 suite à des accusations de pédophilie.
Un autre témoin explique que l'un de ses amis a eu à faire il y a quelques années avec G. quand il avait 15 ans et fuguait régulièrement. Au cours de ces fugues il faisait des conneries, et pour les faire oublier « il lui suffisait de passer deux nuits avec Mr G. et il n'était plus inquiété ».
Un autre témoin qui a appelé la ligne ouverte par le juge en charge de l'enquête au début (et qui a été viré parce qu'il risquait de faire son travail) a déclaré que G. l'a saoulé dans plusieurs bistrots de Liège et l'aurait ensuite violé. G. se serait aussi rendu à plusieurs reprises au home Vert Bois pour aller y chercher des jeunes.
Autre témoignage: une femme qui faisait partie du monde politique et était alors pensionnée. Elle disait avoir appris de source sûre que dans le centre de placement la "MOHINETTE" à Dolembreux, on venait chercher des enfants le soir et on les ramenait le lendemain matin dans la voiture de G. La dame a dit cela à la gendarmerie, qui n'a rien fait.
Plusieurs témoins parlent de ses liens avec Nihoul, mais pensez-vous que les flics l'ont interrogé? Bien-sûr que non.
G. a même été blanchi de toutes les accusations de pédophilie, qui, certes, faisaient tâche tant elles étaient persistantes et concordantes. Pour cela, on s'est concentré sur deux témoignages qui dont leurs auteurs ont été décrédibilisés, une bonne vieille technique. Et finalement, on a dit que tout cela n'était qu'une "effrayante machination" contre les deux ministres, dont l'un est aujourd'hui le premier ministre belge.
Di Rupo avait aussi été mis en cause à l'époque, ainsi que nous l'explique en 1996 le quotidien Libération: "La demande de mise en accusation par la justice belge du vice-Premier ministre fédéral, Elio Di Rupo, et du ministre de l'Enseignement de la communauté francophone, Jean-Pierre Grafé, pour faits de pédophilie éveille désormais, dans une Belgique déjà déstabilisée par les scandales, le fantôme d'une crise de régime".
Lire l'article entier sur "Affaire Dutroux: il y avait d'autres caches"
Source : http://dondevamos.canalblog.com/archives/2013/06/24/27503065.html
mercredi 12 juin 2013
Bruxelles au cœur d'un scandale sexuel voire pédophile, Howard Gutman dément.
12 Juin 2013 07h17
L’ambassadeur des Etats-Unis en Belgique, Howard Gutman, est accusé d’avoir eu recours à des prostituées et d’avoir approché des mineures lors de jeux sexuels, selon le tabloïd américain New York Post. Dans un communiqué, il a réfuté toutes ces accusations, s’estimant sali. Une enquête interne est en cours, menée par l’inspection du ministère des Affaires étrangères américain. L’ambassadeur n’a pas été suspendu de ses fonctions. Pour rappel, son immunité diplomatique empêcherait toute poursuite judiciaire à son encontre.
L’article du New York Post repose sur une dénonciation d’Aurelia Fedenisn, un ancien enquêteur du Département d’Etat américain, qui a dévoilé le fait que l’ancienne secrétaire d’Etat Hillary Clinton aurait couvert plusieurs scandales à caractère sexuel au sein du Département. Mme Fedenisn se fonde sur un mémo révélant huit affaires concernant différents responsables du Département d’Etat.
Des prostituées, une mauvaise habitude?
Parmi celles-ci, détaillées dans ce mémorandum, des agents de la sûreté diplomatique qui protégeaient l'ancienne secrétaire d'Etat Hillary Clinton sont soupçonnés d'avoir "engagé des prostituées durant des voyages officiels à l'étranger", une pratique "endémique" selon l'inspection générale. Parmi ces cas, CBS cite celui d'un ambassadeur "soupçonné d'être client de prostituées dans un jardin public", mais sans plus de précisions. Il s’agirait de M. Gutma, selon le New York Post qui cite le memo en question: "L'ambassadeur abandonnait régulièrement ses agents de sécurité rapprochée afin de solliciter des faveurs sexuelles de prostituées et d'enfants mineurs. (...) Le service de sécurité de l'ambassadeur et celui de l'ambassade étaient très au courant de ces comportements."
Démenti total
"Je suis en colère et attristé par les allégations sans fondement faites dans la presse et je trouve dévastateur de voir ainsi souillées les quatre années durant lesquelles j'ai servi fièrement en Belgique", écrit dans un courrier électronique transmis par le département d'Etat l'ambassadeur Howard Gutman. "Je vis dans un magnifique parc à Bruxelles que l'on doit traverser pour se rendre à plusieurs endroits (de la ville) et je n'ai jamais eu de comportement indécent", se défend le diplomate.
Trafic de drogue à Bagdad?
Le document s'attarde également sur un "réseau clandestin de trafic de drogue" autour de l'ambassade des Etats-Unis à Bagdad consistant à fournir des produits stupéfiants à des employés contractuels travaillant sur place pour la sûreté diplomatique.
Enquête sur… des accusations sans preuve?
La porte-parole du département d'Etat Jennifer Psaki a assuré que les cas mis au jour faisaient l'objet d'une "enquête minutieuse", tout en pointant des "accusations sans preuve". La sûreté diplomatique est le corps d'élite du ministère, protégeant le secrétaire d'Etat et les 70.000 employés du premier réseau diplomatique mondial à Washington et dans 275 postes.
Source: http://www.rtl.be/info/belgique/faitsdivers/1009495/bruxelles-au-coeur-d-un-scandale-sexuel-voire-pedophile-howard-gutman-dement
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1000 Bruxelles, Belgique
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